Epi-logue

 

Parce que les sciences et la spiritualité représentent une quête de la vérité,
dont les critères sont l’authenticité et la rigueur,
leurs manières respectives d’envisager le réel ne devraient pas déboucher sur une opposition irréductible,
mais plutôt sur une harmonieuse complémentarité.

La réconciliation des contraires est créatrice et génératrice de vérité.

Trinh Xuan Thuan (2016). La plénitude du Vide. Paris : Albin Michel, p. 316

 

Le corps: une passerelle vers la Noosphère ? Gilles Lecocq, 2017

 

« D’où viens-tu ?
Des crevasses où réside l’or.
Qu’y a-t-il de plus splendide que l’or ?
La lumière !
Qu’y a-t-il de plus réconfortant que la lumière ?
La parole »

Goethe[1]

 

Il dépend de celui qui passe,
Que je sois tombe ou trésor,
Que je parle ou me taise.
Ceci ne tient qu’à toi Ami, n’entre pas sans désir[2].

 

 

 

[1]Santiago-Delefosse, M. (2002). Psychologie de la Santé. Perspectives cliniques et qualitatives. Sprimont: Mardaga, p. 253.

[2]Inscription lisible sur le fronton du Palais de Chaillot à Paris et rédigée en 1937 par P. Valéry. Cette inscription est citée par J.L. Le Moigne dans une note de lecture  (mis en ligne en 2007 sur le site de l’Association pour la Pensée Complexe http://www.mcxapc.org) qu’il consacre à un ouvrage d’Antonio Machado traduit en français en 2006 aux Editions du Rocher sous le titre : JUAN de MAIRENA. Maximes, mots d’esprit, notes et souvenirs d’un professeur apocryphe.