Gilles Lecocq**
L’œil : un miroir du corps – Gilles Lecocq (2014)
Le temps et l’espace s’entrechoquent et réveillent le sens du sacré…
au cœur du corps, là où un grand vide illimité permet à l’invisible de se donner à voir
L’inutilité incarnée devient alors une belle occasion d’habiter l’espace ineffable de son corps,
pour rencontrer les limites de l’inconnaissance, là où l’éternel se révèle.
A la suite de quelques moments passés
dans une cellule du Couvent de la Tourette
construit par Le Corbusier[1]
[1]Petit, J. (1961). Un couvent de Le Corbusier. Paris : Les Editions de Minuit
**ILEPS-ICP, CRS-EA 7403