Géraldine Maugars[1]
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Présentation :
Dans la préface de l’ouvrage de Simone Weil L’Attente de Dieu, Christiane Rancé présente la philosophe comme notre contemporaine se tenant « au-devant de nous, pour nous montrer comment nous tenir face au monde[2]». Effectivement, son expérience en tant qu’enseignante, sa conversion au christianisme et sa quête inlassable de la vérité peuvent nous éclairer sur la manière d’aborder Dieu à l’école.
Presentation:
In her foreword to Simone Weil’s L’Attente de Dieu, Christiane Rancé presents the philosopher as our contemporary, standing “in front of us, to show us how to face the world”. Indeed, her experience as a teacher, her conversion to Christianity and her relentless quest for truth can shed light on how to approach God at school.
Quelques définitions :
Attente de Dieu : Pour rencontrer Dieu, l’âme doit se mettre en attente, c’est-à-dire dans une forme de veille active et persévérante. Cette attitude reprend l’invitation de l’Évangile « Vous aussi, tenez-vous prêts, car c’est à l’heure que vous ne pensez pas que le Fils de l’homme va venir[3]». L’attente suppose une attitude particulière qui est l’attention.
Attention : Elle est une absence de crispation, de renoncement et motivation personnelle. Elle se distingue de la concentration qui relève d’un effort physique. Le contraire de l’attention est la dispersion.
Création : La Création est associée à un geste de décréation c’est-à-dire un retrait de Dieu pour laisser l’homme exister.
Enracinement : Il s’agit de concevoir l’homme comme un être ancré dans une tradition et participant à un milieu. L’enracinement fait partie des besoins sacrés, c’est-à-dire qui permettent à l’homme de vivre. Il permet ou nourrit les autres besoins comme la liberté, la responsabilité, la vérité…
Metaxu : Les choses créées ne sont pas des fins en elles-mêmes, elles sont des metaxu c’est-à-dire des intermédiaires ouvrant au divin. Ce sont des biens terrestres indispensables à la vie comme le foyer, la patrie, la culture…
Introduction
Dans un texte s’intitulant Autobiographie spirituelle, Simone Weil raconte le récit de sa conversion. Elle y évoque trois moments forts qui participent de sa conversion : une procession au Portugal, la visite de la chapelle de Santa Maria degli Angeli dans laquelle Saint François d’Assise a prié, les offices à Solesmes qu’elle a suivis depuis le jour des Rameaux jusqu’à celui de Pâques au cours desquels « la pensée de la Passion du Christ est entrée en moi une fois pour toutes[4] ». Lors de la publication posthume de l’ouvrage Attente de Dieu, tous ses proches ont été étonnés d’apprendre son cheminement, ses questionnements et son expérience de Dieu. Selon Weil, la foi véritable implique une grande discrétion même vis-à-vis de soi-même. « Elle est un secret entre Dieu et nous auquel nous-mêmes n’avons aucune part », explique-t-elle au père Perrin[5]. Comment alors parler de Dieu s’Il relève de la sphère de l’intimité ? Ne risque-t-on pas de trahir ce qui nous anime ? D’un autre côté, la discrétion que l’on pourrait arguer ne s’apparenterait-elle pas à une forme d’évitement ? Comment parler de Dieu en vérité et en délicatesse ?
Parler de la relation de Dieu aux hommes
Weil critique les religions qui s’attachent à la toute-puissance de Dieu, elle ne nie pas cet attribut mais elle souligne qu’Il ne commande pas partout où il en a le pouvoir. Par là- même, elle brise les préjugés et représentations fausses que l’on peut avoir de Dieu. « La vérité essentielle concernant Dieu, c’est qu’Il est bon. Croire que Dieu peut ordonner des actes atroces d’injustice et de cruauté, c’est la plus grande erreur qu’on puisse commettre à son égard[6].»
L’approche de Weil ne s’appuie pas non plus sur des analyses philosophiques de Dieu comme par exemple celle de Descartes. Dans la troisième méditation, il examine l’idée de Dieu et énumère ses qualités : « souverain, éternel, infini, immuable, tout connaissant et créateur universel de toutes choses[7] ». C’est une approche purement intellectuelle. Quand Descartes fait de la création de l’homme une démonstration de la puissance de Dieu, Weil propose une autre lecture de la divinité qui s’attache aux rapports entre Dieu et les hommes. La démonstration de Descartes est la suivante quand il s’interroge ainsi sur son origine : Moi qui suis un être pensant ayant l’idée de la perfection, qui est mon auteur ? En effet, Dieu s’il est Dieu est tout puissant, éternel, immuable, créateur de toute chose. La comparaison entre Dieu et moi-même me montre toutes les qualités qu’il me manque. Je ne suis pas cause de moi-même. Dieu est donc la cause de mon existence. Cette démonstration peut nourrir le besoin de vérité essentielle pour l’âme mais cela ne nourrit pas l’enracinement, besoin le plus important pour Weil. La création est selon elle un renoncement de Dieu, un acte de retrait, d’humilité et de dépossession. De façon apparemment, paradoxale, le geste de Création de Dieu est dans le même temps, indissociablement, un geste de décréation par lequel il se retire par amour des hommes. En n’occupant pas tout l’espace, il nous permet d’exister et rend le mal possible. Dans la théologie chrétienne, le terme de « kénose », depuis saint Paul, désigne le mouvement d’abaissement par lequel le Christ se dépouille de tous les attributs divins qui pourraient faire obstacle à son humanité. La création est un acte d’amour surnaturel pour les hommes. Ce retrait est qualifié de folie d’amour. Cette expression est empruntée à Platon dans Phèdre. La beauté terrestre rappelle l’Idée de beauté et trouble l’âme. Cet enthousiasme, ce délire, cet amour fou est celui de Dieu pour les hommes.
Parler de Dieu dans ses formes implicites
L’absence de Dieu est interprétée parfois comme un abandon ou comme une preuve de sa non-existence. C’est tout le contraire pour Weil : l’absence de Dieu est une suspension de son pouvoir pour laisser exister l’homme, pour lui permettre d’être libre, une discrétion infinie pour ne pas s’imposer. De même la passion est l’acte par lequel le Christ a épousé la condition de l’homme pour nous sauver. Cependant si Dieu est absent, il se révèle à tous les hommes dans des formes implicites : l’ordre du monde, les cérémonies religieuses, le prochain. Ce sont des médiations, des manifestations du Verbe. Ainsi parler de Dieu reviendrait à montrer ses manifestations indirectes. Ses formes ont la particularité d’envelopper une présence réelle de Dieu mais de manière secrète. « Il n’y a pas dans la vie humaine de région qui soit le domaine de la nature. Le surnaturel est présent partout en secret. Ce sont des ouvertures au surnaturel, elles « donnent directement accès à la porte centrale qui est le Christ[8]. » Ce sont des préparations telles que « dans la plupart des cas un contact direct avec Dieu n’est possible que si pendant longtemps l’âme a porté en elle à un degré élevé tous ces amours indirects[9] ». Par conséquent, exposer l’ordre du monde ou la nécessité des cérémonies religieuses, analyser comment on peut aimer le prochain seraient des manières indirectes de rendre compte de la présence divine dans tous les niveaux.
Ces trois objets répondent à trois questions que les élèves peuvent se poser. Y-a-t-il un ordre du monde ? Que dois-je faire ? La religion est-elle nécessaire ? Il s’agirait de capter l’attention des élèves sur des sujets philosophiques pour les amener à contempler peut-être la présence divine ou du moins élever leur réflexion. L’avantage des ces trois objets est de les contraindre au décentrement, de les faire sortir d’eux-mêmes pour les faire regarder la nature, l’autre, le Christ. Chez Weil, la pédagogie de l’attention est au cœur de l’enseignement scolaire. Elle est une absence de crispation, de renoncement et motivation personnelle car elle permet de développer chez les élèves non seulement le désir de vérité, mais également l’amour des autres et de Dieu. L’attention ressemble à la prière, comme elle, elle suppose la foi et la vérité, croire que la Vérité unique existe et que l’on peut la saisir. Comme Dieu s’est retiré de la Création pour nous permettre d’exister, les éducateurs doivent se dépouiller de leur moi personnel pour faire réfléchir les élèves, un exercice qui suppose de dire la vérité tout en laissant place au véritable dialogue. La discrétion de Dieu suppose aussi une pudeur de la foi. La parole doit laisser aussi la place au silence, aux temps d’intériorité. L’objectif est de nourrir les besoins de l’âme, non de les faire adhérer de force, ni de les étouffer d’un savoir.
L’amour de l’ordre du monde, l’amour du prochain, l’amour des cérémonies religieuses sont des formes implicites car ils sont là sans être manifestés directement. Ainsi quand on aime les cérémonies, ce ne sont pas les rites que l’on affectionne mais le fait qu’ils célèbrent la gloire de Dieu et qu’ils offrent l’occasion d’un lien plus intime de Dieu. De même à travers la beauté de la nature ou des œuvres d’art, on aime une forme de perfection qui n’appartient qu’à Dieu. On aime le prochain car il est notre frère dans l’humanité. Ces amours témoignent d’une âme orientée vers le bien. Ces amours sont absurdes c’est-à-dire irrationnels c’est-à-dire ne reposent pas sur une démonstration ou des preuves tangibles. Elles reposent sur une forme de foi implicite.
Y-a-t-il un ordre du monde ?
Dieu est tout puissant mais par humilité, il choisit de ne pas commander et de laisser l’univers être ordonné par une nécessité mécanique. Il y a donc un ordre de la nature régi par des lois découvertes par les sciences. Tous les évènements qui composent la nature, relèvent de la volonté de Dieu, qui en est le principe ordonnateur. Les corps et les âmes sont donc soumis aux lois régissant la matière. La foudre est comprise comme de la matière inerte obéissante à l’ordre du monde et comme un « échange d’amour entre Dieu et sa création[10]. » Les paroles du Christ dans l’Évangile selon Saint Mathieu « Voyez les oiseaux du ciel qui ne sèment ni ne moissonnent ni n’amassent ans les greniers, le Père les nourrit » ne témoignent pas d’une Providence qui pourvoit à chacun mais plutôt d’une Providence impersonnelle. L’amour de la beauté du monde revient à contempler la perfection de son ordre. Qu’est-ce que le beau ? On a souvent cette idée que le beau est relatif aux temps, aux espaces, aux individus. Il n’en est rien. Weil s’intéresse à la relation entre l’homme et le monde. Elle reprend l’analyse kantienne de l’expérience esthétique du sujet. Kant expose quatre critères du jugement esthétique. Le premier concerne l’intérêt, défini comme la satisfaction que nous lions à l’existence de l’objet. « Peut-être dit beau ce qui est l’objet d’un plaisir désintéressé[11] ». Si nous trouvons qu’une œuvre est belle, nous ne portons aucune attention à son existence ou à sa possession. Seul compte le spectacle de l’objet et l’esprit qui l’accompagne. L’œuvre s’offre à nous en toute gratuité. Le jugement esthétique a également une prétention à l’assentiment universel. Mais cette prétention ne se fonde sur aucun concept. Il ne se fonde sur aucune détermination objective. C’est l’état d’esprit qu’il faut supposer universel. « Est beau ce qui plaît universellement sans concept » écrit encore Kant[12]. Est beau ce qui donne l’impression d’avoir été réalisé en fonction d’une intention. Ainsi le beau est un sentiment d’harmonie partagée par les sujets. Weil va plus loin. La beauté de l’univers dépasse les beautés particulières qui sont des médiations (des metaxu). On peut comprendre cette idée en se référant à la théorie de Platon dans le Banquet. Un beau corps participe de l’Idée de beauté ou en est le reflet. Chez Weil, la beauté est un miroir du bien, manifestant déjà l’éternité. L’art est aussi une imitation de la beauté du monde, les auteurs sont des génies qui ont été inspirés, c’est-à-dire qui ont eu un contact avec Dieu. Il y a quelque chose d’impersonnel car ils s’effacent au profit de l’œuvre. Celui qui aime le beau aime Dieu inconsciemment ou consciemment, celui qui aime Dieu aime le beau. Contempler la nature ou une œuvre d’art est bien plus qu’une expérience sensible, c’est l’occasion pour les élèves d’un moment gratuit, de dépossession de soi, une expérience implicite de Dieu.
Que dois-je faire ?
L’amour du prochain renvoie au commandement « Tu aimeras ton prochain comme toi-même [13] ». Il se définit comme l’amour qui descend de Dieu vers l’homme. Weil reprend le raisonnement de saint Jean :
« aimons-nous les uns les autres, puisque l’amour vient de Dieu. Celui qui aime est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour[14]».
Pour Weil, il ne s’agit nullement d’aimer le prochain en Dieu, pour Dieu. Quand on est attentif au malheureux, on ne pense pas à Dieu, on est centré sur l’autre. C’est donc Dieu en nous qui aime les malheureux. Aimer le prochain signifie aimer anonymement et de manière universelle. L’amour du prochain contrairement à l’amitié n’implique aucun attachement, aucune préférence. Il a pour objet tous les hommes.
« Quiconque aime authentiquement Dieu, même s’il croit avoir oublié les créatures, aime les hommes sans le savoir[15].» De même celui qui aime son prochain mais qui nie l’existence de Dieu aime Dieu sans le savoir. Il contemple la misère humaine en lui-même et en l’autre. La charité est ainsi une attention à l’autre dénuée de motivation personnelle. Le contraire de cette attention est le mépris. Pour Weil, l’homme a une nature animale qui lui fait commettre le mal. Il faut donc l’accueillir comme de la matière inerte, comme partie de l’univers. Quand un homme se détourne à Dieu, il se livre simplement à ce qu’appelle Weil la pesanteur. Au contraire, la loi du mouvement ascendant se nomme la grâce. Les paroles du Christ « Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font » prennent alors tout leur sens[16]. Cette démesure, cet amour inconditionnel, cette folie d’amour de Dieu pour les hommes est ainsi le modèle d’amour pour les hommes. Il est décrit dans la lettre de Saint Paul aux Corinthiens :
« [L’amour] ne s’irrite pas, il ne soupçonne pas le mal, il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité; il pardonne tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout[17] ».
La religion est-elle nécessaire ?
Aborder Dieu avec Simone Weil, c’est exposer le cheminement de la foi et de la raison, la manière dont elles se nourrissent l’une de l’autre. Issue d’une famille de confession juive agnostique, elle se convertit au christianisme et reconnait l’Église catholique comme une communauté universelle de ceux qui croient au Christ Elle adhère aux vérités éternelles que professe l’Église catholique. « La fonction de l’Église comme conservatrice collective du dogme est indispensable. Elle a le droit et le devoir de la privation des sacrements quiconque l’attaque expressément dans le domaine spécifique de cette fonction[18]. » Pour des raisons d’ordre spirituel, intellectuel et théologique, elle ne se sent pas prête à être baptisée. Signe d’une foi profonde, elle ne délaisse pas les pratiques religieuses. Au contraire, l’Église catholique étant l’épouse du Christ, la gardienne des sacrements et des textes sacrés. elle assiste à la messe et adore le Saint Sacrement. Elle éprouve également une joie très profonde à prier qui selon elle ouvre à l’espace infini. Après l’avoir traduit en grec Weil récite le Notre Père tous les jours jusqu’à obtenir une attention pure. Ses pages admirables sur la prière et l’Eucharistie permettent de retrouver ou redécouvrir le sens des pratiques religieuses.
Leur raison d’être est d’élever l’âme à Dieu. Par l’intermédiaire de rites, de cultes, la religion permet ainsi une réconciliation de l’homme avec son créateur. Considérée comme un moyen pour une autre fonction que de mener au Christ, elle est un obstacle à la foi. Elle n’est pas un moyen de consolation, ni une fin en soi. Les pratiques religieuses sont des formes diverses de récitation du nom du Seigneur. Ce sont des conventions divines, par conséquent elles ont une pureté inconditionnée. Si l’on trace des droites tordues pour illustrer une démonstration, celle-ci demeure correcte. « L’église peut être laide, les chants faux, le prêtre corrompu et les fidèles distraits », la ratification par Dieu des conventions leur donnent une pureté parfaite[19]. La convention est entendue comme une « promesse d’une présence que l’esprit doit recevoir dans la foi[20] ». « Cette pureté inconditionnée et parfaite, est en même temps réelle c’est-à-dire ne dépend ni de la nature, ni de la vertu et de la conformité des hommes. Si prompts à critiquer l’Église catholique ou trop attachés à sa réalité matérielle, Weil nous recentre sur l’essentiel : le contact mystérieux avec Dieu dans les sacrements, le saint sacrifice du Christ. Selon Weil, les rites requièrent un niveau de spiritualité sinon on ne participe qu’à un espace social et à une symbolique. Sous cet aspect humain, ils ne diffèrent pas de ce qui se fait dans les rassemblements des partis politiques. Au contraire, ils supposent donc une attention particulière qui peut être obstruée par des états d’âme, des habitudes…Par exemple, dans le sacrement de l’Eucharistie, le Christ est présent dans l’hostie de la même façon qu’un triangle a ses deux angles égaux. Or pour saisir cette nécessité, l’âme doit aspirer au bien unique. Il résulte un conflit intérieur. La partie médiocre de l’âme entachée par le péché originel répugne au sacrement tandis que l’autre le désire. La communion s’apparente alors au glaive du Christ qui détruit une partie des impuretés de l’âme.
De manière plus générale, la fonction de propre de l’amour implicite est de purifier l’homme du mal en lui offrant quelque chose de pur à contempler.
Parler de Dieu à l’École avec la philosophe Simone Weil, c’est la possibilité grâce à son autobiographie spirituelle de s’adresser à tous les élèves croyants ou non. Il s’agit de les faire croitre en sainteté en les amenant indirectement à aimer, réfléchir et contempler.
Bibliographie
Ouvrages de Simone Weil :
Œuvres, Paris, Quarto Gallimard, 2017, première édition : 1999.
La Pesanteur et la grâce, coll. Agora, Plon, 1991, première édition : 1947.
Écrits de New York et de Londres, Paris, Gallimard, 2019, première édition : 1946.
Attente de Dieu, Editions Albin Michel 2016, Première édition Editions du Vieux Colombier 1950.
Commentaire :
Gabellieri Emmanuel, Être et grâce, Paris, Les Éditions du Cerf, 2023.
Autres textes cités
Descartes, Méditations métaphysiques, Paris, Garnier-Flammarion, 1979.
Kant, Critique de la faculté de juger, Paris, Vrin, 1993,
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Pour citer cet article:
Référence électronique : Géraldine Maugars, « Parler de Dieu à l’École avec la philosophe Simone Weil », Educatio [En ligne], 15| 2025. URL : https://revue-educatio.eu
Droits d’auteurs
Tous droits réservés
[1] Préfet à l’ensemble scolaire Saint-Jean de Passy, Paris.
[2] Attente de Dieu, Paris, Éditions Albin Michel, 2016, p.23.
[3] Luc 12-40.
[4] Attente de Dieu, op.cit, p.53.
[5] Idem, p.10.
[6] Écrits de New-York et de Londres. Questions politiques et religieuses, Paris, Gallimard, 2019, p.161.
[7] Méditations métaphysiques, Paris, Garnier-Flammarion, 1979, p.117.
[8] Gabellieri Emmanuel, Être et grâce, Paris, Les Éditions du Cerf, 2023, p.197.
[9] Idem, p.95.
[10] L’Enracinement, Paris, Gallimard, Folio essais, 2015, p.363.
[11] Critique de la faculté de juger, Paris, Vrin, 1993, p.64.
[12] Idem, p.73.
[13] Mathieu 22, 37-39.
[14] 1 Jean 4, 7-10.
[15] Œuvres, Cahiers VI, Paris, Quarto Gallimard, 2017, p.904.
[16] Luc 23, 34-35.
[17] 1 Corinthiens 13, 4-8.
[18] Attente de Dieu, op.cit. p.67.
[19] Attente de Dieu, op.cit. p.182.
[20] Idem, p.191.