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Thierry de La Garanderie*
Résumé : permettre à un élève de s’engager sur les chemins de la connaissance (y compris la plus conceptuelle) ne requiert-il pas de prendre en compte sa vie affective ? La connaissance se vit, s’éprouve depuis la sensibilité, sans jamais s’en séparer. Toute éducation à la connaissance qui couperait les actes cognitifs de l’affectivité ne pourrait pas répondre à cette belle finalité pédagogique : que l’élève devienne un acteur de sens et éprouve en lui le sens de la connaissance.